Brisé et perdu dans le territoire des détraqués. (Evy)

*J’étais mort il y a a peine quelques heures et je me réveille... brisé et perdu dans près de ce lac. C'est sans doute là que la folle a abandonné mon cadavre.*

Je regarde autour de moi, je ne vois pas très bien puisqu'il fait sombre mais je peux entendre des rires et des cris sinistres au loin... des cris humains. J'ai terriblement froid! Mais étrangement, je ne sent ni le froid emené par le vent ni la chaleur. À ma conaissance, les morts ne ressantes pas les températures... *Cela doit être un effet temporaire*

*Que m'arrive t-il? L'armée savait elle que la mission allait finir ainsi?*

Je me leva puis me dirigea vers un boisé non loin de la forêt. Une forêt c'est sinistre surtout ici mais au moins, je suis moi à la vue de ses malades. Je marchai dans le boisé pour découvrir qu'il n'en finissait plus. Tellement que je revins sur mes pas sans le savoir et aboutit sur le bords du lac à l'endroit ou je me suis réveillé.

*Mais pourquoi ai-je si froid?*

J'étais découragé. Je me coucha donc sur le bord du lac pour attendre le matin puis m'endormi sans m'en rendre compte. Toute ma garde était baissée. Mais bon, j'avais besoin de dormir et je ne savais pas comment quitté cette endroit et se faire bouffer inconsciemment c mieux que consciemment.

Evy était venue ici sur un coup de tête. Il était à peine 5 heures du matin qu'elle était déjà dehors. Comme ça elle était au moins rassurée sur le fait que Maxxie ne serait pas levé à cette heure. Elle pouvait donc l'éviter pendant près de 4 heures encore. Mais ce n'était pas vraiment la raison de sa venue ici. La jeune femme avait simplement envie de solitude. Bouteille de vodka à la main à cause de sa soirée, qui avait été un peu douloureuse. Elle avait été obligée de suturer toutes les blessures que Maxxie avait causées. Donc l'alcool avait aidé. Mais là, la bouteille était vide depuis près de 3 heures déjà, et Evy n'était plus soule du tout. Elle aurait préféré que cet état de semi-conscience dure éternellement, qu'elle en crève tellement elle avait peur.. Une crainte s'était installée en elle. Jamais elle n'avait eu aussi peur, jamais elle n'avait compté le nomre d'heures, de minutes et de secondes qu'il lui restait avant de se cacher de peu importe.

En passant par ce Lac perdu, elle se retrouva devant un jeune homme qui dormait sur le sol. Lentement et douloureusement, elle s'agenuoilla devant lui pour le regarder. Il avait l'air de bien dormir lui. Bref' elle leva la main qui tenait la bouteille vide, puis la lança au large. De toute façon ça ne lui servirait à rien en cet instant. Ensuite, elle se remit à regarder le jeune homme, le fesant remuer un peu pour savoir s'il était mort.. Elle ne voulait pas enterrer de cadavres maintenant! Passons.. D'une voix douce, mélodieuse et faible, elle lui dit simplement:

-Hey, est-ce que ça va?-

J’entendis cette voix mais je n’étais pas encor réveiller. Elle reposa cette simple question, probablement pour s’assurer de mon état puis cette fois, elle me réveilla. J'aurais souhaité ne jamais me réveiller ou bien si c'était le cas me perdre dans la boisson pour tout oublier même si c'était contre mes principes. Je la regarda avant de me redresser puis de me tourner vers elle.

-Physiquement? Euh Je suis mort… Psychologiquement, je suis détruit. J’aurais aimé que tu ne me réveille jamais. On m’a envoyé ici et pour une « mission humanitaire » (une fausse) et ce qu’on a trouvé… J’ai besoin d’aide, je suis désorienté et… -

Je la regardai puis posa ma main sur son bras pour qu’elle comprenne la gravité de ce que je vivais. Elle pouvait sentir la ma froideur.

-Je m’appel Gabriel…. Vous êtes la première personne qui ne me saute pas dessus alors puis-je savoir votre nom?-

Je commenca à sentir un odeur d'alcohol. Je pouvais ainsi savoir que quelque chose n'allait prrobablement pas chez elle.

-Ne vous occupez pas de moi, oubliez ce que j'ai dit. Vous avez bu mais... pas juste pour le plaisir n'est-ce pas? Est-ce que je peux vous aider?-

J'étais très sincère, c'était mon côté humanitaire qui ressortait.

Woh! Mais il avait l'air vraiment désorienté et atteint de troubles psychologique lui, à première vue. Oh.. Un autre fantôme alors. Bon elle commeçait à s'y habituer maintenant. D'une manière ou d'une autre, elle avait comme petite copain, un fantôme. Donc ça devenait normal. Mais cette froideur.. Jamais elle ne s'y était encore habituée. Comme si ce froid glacial lui glacait les os. Bref' la jeune femme s,efforca de sourire, essayant de suivre ce que le jeune homme lui disait. Premier bout, elle ne comprenait rien. Mais là.. lorsqu,il posa sa main sur son bras, Evy recula vivement. Pas qu'elle avait peur, c'est qu'elle ne s'attendait pas à ce qu'il soit vraiment froid. Bon, au moins elle avait retenue en tête son nom, et le peu de mots qu'elle pouvait.

Il voulait savoir son nom?! Il allait un peu vite, comme si il se réjouissait de savoir qu'au moins une personne sur la terre se préoccupait de lui. Mais elle s'en fichait un peu pour l'instant, avec l'alcool qu'elle avait ingurgité, elle aussi était un peu désorientée. Un mal de tête la tenaillait, et elle tentait de ne pas le faire paraître. Ce qui était plutôt difficile. Bref' elle se rapprocha puis s'efforca une fois de plus à sourire. Sur un ton toujours faible, elle lui répondit:

Elle recula quand elle senti la froideur mais je crois que c'est une réaction normale. Un mort...un fantôme. Quand elle dit son nom, il se grava aussitôt dans ma tête. Je ne l'oublierai désormais jamais. Quand elle me demanda de l'aider à se relever, je le fis. Je me levai puis avec précaution l'aida. Je pris Evy par la main pour l'aider. -Evy c'est un joli nom. - Il était cinq heure du matin, il faisait froid... je présume... alors je pris ma veste puis lui tendis en lui demandant si elle voulait l'accepter. Ca me ferait plaisir d'autant plus que j'en aurai plus jamais besoin. Nous marchâmes un peu puis je me décidai à me lancer. C'était un peu tôt mais je sentais que tout n'allait pas pour Evy.

-Evy, pour vous, est-ce que tout vas bien? parce que mon intuition me laisse croire le contraire. -

*J'ai envi de l'aider. J'aidais les gens de mon vivant et la mort ne vas pas m'arrêter.*

-J'aimerais sincèrement t'aider ou d'écouter si il y a quelque chose qui te pèse sur le cœur. (Dans l'armée, les soldats ont un petit cours de psycho alors : ) Il faut que su sache que je t'écouterai et que ça resterait pour moi. Je ne jugerais pas.-

La jeune femme prit la main de Gabriel qui l'aida à se relever. au moins il était bien gentil,ça l'avantagais déjà de tous les autres fous ou détraqués qu'elle croisait ici. Une fois remise sur pieds, Evy regarda Gabriel. Mais merde qu'il était grand.. Plus grand que Logan même! Et voilà que la naine d'Evy se trouvait encore plus naine qu'avant.. TT Bref, Gabriel retira sa veste puis la tendit à la jeune femme. C'est vrai qu'il faisait froid, mais elle hésitais. Ce n,est qu'ap`res quelques minutes qu'elle accepta, souriant au fantôme avant de le remercier. Elle revêtit la veste, se mettant à marcher à ses côtés. Il avait l'air de bien s'inquièter pour notre petite Evy tout d'un coup. Elle n'était pas pour se confier à lui. Et puis simplement d'aborder le sujet lui foutait la trouille gravement. Donc ce ne serait pas une excellente idée de lui dire maintenant. Evy haussa les épaules, regardant devant elle.


Et puis, c'était vrai. Mais là elle utilisait une vérité pour l'aider à cacher son mensonge. Quelle connerire..

-Ah bon... Je me suis trompé alors. J'aimerais te connaitre un peu plus. Comment est-ce que tu t'es retrouvé ici?-

Mon intuition me disait qu'elle dissimulait quelque chose mais je n'insistai pas. Je décidai alors de changer de sujet. Pourquoi ne pas lui poser une ou deux questions pour mieux la connaitre? Je la trouvais sympathique et puis me faire une amie, ca ne ferait pas de tors! Je changea encor de sujet. Je ne savais pas de quoi parlé car enfait, j’espérais qu'elle allait me parler d'elle sans que j'insiste trop puisque ca serait impoli.

-Vous savez, je ne suis peut-être pas dans un bon état mais vous m'avez remis d'aplomb. Savoir que je n'étais pas seul m'ai terriblement aidé! ... Cela fait longtemps que vous êtes-ici? ... Je crois que je m'y habitue déjà. Je ne crains pas les détraqués qui rôdent pas loin mais vous ne prenez pas de risques en vous promenant seul ici?-

Je lui posais beaucoup de questions et mes phrases ne se suivaient pas toutes parfaitement mais j'essayais juste d'amorcer une discussion dans les deux sens. J'esperais aussi qu'elle allait me dire si elle connaisait d'autre bonne personnes et me proposer des les rencontrés mais je n'allais pas demander. Après tout, elle ne me connaissait apeine.

Oh.. Heum beaucoup de questions pour une seule jeune femme. Elle avait perdu totalement le fil des choses là, et tout cela la mélangait au plus haut point. Trop de questions, d'affirmations et de deamndes à la fois pour elle, à la suite d'une gueule de bois en plus! Tout cela commencait bien.. Oh ça oui! TT Bref' elle prit donc le temps de penser, de séparer les mots qu'il avait dit.. Car sinon c'était le chaos total dans son esprit. Elle prit donc le temps de répondre à la première question.


Elle soupira, repensant un peu à tout cela. Les gens étaient cons, voilà tout. La société était menée par le bout du nez, ceux qui s'en démarquait étaient envoyés ici ou à l'asile, c'était vachement simple à comprendre.


Oh, mais elle ne faisait pas cela contre tous les détraqués.. Juste pour un seul. Celui dont elle avait peur, celui qui l'avait martyrisée.

-Vous me dites que le nom de cet endroit est Psychopat Scream... ça fait froid dans le dos ce nom là!-

*La société, quel gâchis, des gens corrompu et plein de préjugés chassent la différence. La différence, c'est l'évolution et je crois bien qu'il ne faut pas intervenir. Dans le cas d'Evy, la différence, à ce point, je la voyait positive même si je ne savais pas vraiment de quoi elle était accusé.*

-Alors tu compte les minutes pour ne pas croiser les détraqués? Ils doivent être dangereux pour les craindre à ce point. Avez-vous les moyens de vous défendre? Mon unité et moi avons été piégé à cause des règles d'engagements mais là j'imagine que ce sera différent. J'ai un pistolet, la détraquée ne l'as pas pris.... faut croire que ca ne l'intéressait pas.-

Je montra. Il était dans sa gaine sur ma ceinture. Elle ne pouvait pas l'avoir vu puisqu'il était exactement à son opposé. Elle était à droite et l'arme à gauche.

-Il y a un chef détraqué ou un plus menacent que les autres qu'il faut craindre?-

La jeune femme marchait toujours, en écoutant Gabriel. Bon, là il ne mélangait plus ses phrases. Ça commençait plutôt bien, et vraiment là, aucun sarcasme! Il était vrai que le nom de l'endroit donnait froid dans le dos, mais il s'appelait ainsi, on ne pouvait rien y faire. Bref' elle hocha la tête puis haussa les épaules, pour lui faire simplement comprendre que ça ne la dérangeait pas du tout!


Elle avait dit cela comme si c'était plutôt normal de ressortir de combats contre des fous et des détraqués, comme si toute cette vie était normale. Mais bon, elle s'y faisait et c'était tout. Il fallait s'adapter pour survivre, non?

-Lutter pour survivre? Si il arrive quelque chose, tu peux compter sur moi. Je vais te dire un petit secret. Je suis sur qu'il te faut beaucoup de courage pour vivre ici mais je suis p`resque sur que tu a des craintes. C'est justement de cela que je veux te parler. Le véritable courage consiste à être courageux précisément quand on ne l'est pas car un homme qui est sans peur ne peux être courageux . Tes craintes, fait leur face. Si tu ne peux y arriver seul, je suis là. Je ne sais pas si tu me suis mais l'homme doit vaincre, toujours vaincre... Avant d'être vaincu lui-même alors, considère aussi cette autre forme de courage. Fuir, c'est prendre son courage à deux pieds. Je veux dire que parfois, il faut arrêter pour son bien et quand cela est difficile, il faut prendre son courage à deux main pour y arriver.-

J'étais contient d'avoir été relativement lourd mais je me disais qu'elle allait comprendre avec un peu de rélexion. J'essaillais simplement de l'encouragé à ma manièreé

Bien sur, elle avait compris. Même si elle avait encore un peu sa geueule de bois, fallait dire que notre petite Evy n'était pas si inculte que cela, hein? elle n'avait maintenant qu'un immense mal de tête, c'était tout. Mais il fallait la comprendre après tout. C'était normal, elle avait essayé de faire passer la douleur de ses blessures avec l'alcool. Et ça avait marché pendant plusieurs heures.. Jusqu'à maintenant. Mais elle ne le fesait pas paraitre. Bref' elle commençait à bien aprécier Gabriel. Il avait une de ces réflexions sur le monde qui intriguait Evy, tout d'un coup. Donc elle tourna son regard vers le fantôme, lui adressant un joli sourire.


Hé bien, pour une fois qu'elle accordait facilement sa confiance! Il ne faudrais pas qu'il la perde par exemple, car ce serait difficile de la reconquérir par la suite.. Extrèmement difficile même. Evy n'était pas très facilement abordable à l'habitude. À cause d'Eva, qui ne se mêlait guère de ses affaires.

-Tu ne sais pas comment je suis contant de ce que tu as dit! C'est merveilleux. Vous avez également toute la mienne!-

Je la regardais désormais en souriant. J'avais presque oublier mes problèmes. Cela fesait un bon moment qu'on parlait et qu'on s'apprivoisaient mutuellement. C'est alors que je me demanda si elle avait gardé le fil de son compte.

-Evy, ils nous reste combien de temps avant la fin de leur "heure de someil"?-

Je n'étais pas nerveux en sa compagnie mais si le compte était dépassé, ce ne serait pas une situation agréable mais il serait hors de question que je l'abandonne, elle me fait confiance. Je me mis donc à me demander ou elle pouvait bien vivre.

-Evy, c'est un peu indiscret mais tu habite où ici?

Je commença donc à réfléchir : * les fous, les détraqués, les normaux et les fantômes c'est réellement étrange mais si j'en crois mes oreilles ce sont les détraqués le vrai problème. Tantqu'aux fous, je ne pourrais pas me prononcer mais si j'y pense j'aurais tendance à les définir comme cela : Ils ne sont pour la plus part pas totalement mauvais, ils ont quelques chose à l'intérieur et quand c'est réveillé, c'est très négatif mais contrairement aux détraqués, ils ne sont pas toujours .... C'est les détraqués pour lesquels je m'inquiète en ce moment.*

-Les détraqués, tu en connais un personnellement?

La jeune femme sourit aux paroles de Gabriel, haussant les épaules à sa question. Non, elle n'avait pas perdu le fil de son compte, mais elle s'En fichait un peu là. Il leur restait beaucoup de temps et elle le savait. Donc elle ne fit que retourner son regard deant elle, disant calmement:


Ensuite le fantôme lui demanda où elle habitait, et c'était un peu indiscret en effet. Mais pourquoi il posait autant de question? Ça commençait vraiment à la fatiguer et lui tapper sur les nerfs, sérieusement. Donc elle ne fit que soupirer, effaçant son sourire distraitement. Il voudrait savoir quoi de plus ensuite?! Sa taille de bonet?! Non mais ça allit trop loin là. Bref' la jeune femme ne fit que répondre:

Si elle connaissait un détraqué personnellement?! Oh ça oui.. Elle connaissait tous les recoins de sa peau, et maintenant elle connait le tranchant de sa lame. Oh Maxxie.. Un pauvre détraqué qui s'acharnait sur elle et qui tenait à la tuer. Mais elle n'en parlerais pas à Gabriel, de tout cela.


Dangereux?! Ils étaient plus que dangereux. Ils vous aspiraient le sang et vous tuait douloureusement.. Pour certains, ils vous font souffrir.

-Je n'aurais pas dû te demander ou tu habitais mais c'est que moi, je ne sais pas où allé et euh je crois que tu me comprendrais si je te disais que cela ne me plairait pas réellement de vivre dehors. Et pour connaitre personnellement, euh j'ai pas utilisé les bons mots... Je voulais plutôt dire si tu avais des problèmes avec un de ceux là. Désolé...-

Elle me rassura quand elle me dit qu'il restait beaucoup de temps. Soudain, pour détendre l'atmosphère que j'avais rendue inconfortable avec mes questions je décidai de lui poser une petite énigme ou plutôt un petit puzzle. Je marchai jusqu'à la lisière de la forêt aux arbres noirs puis trouva un arbre moche puis y prit six aiguilles. et un peu de sève collante pour en faire plusieurs petites boules. L'arbre était un grand pin très croche.

-Evy, tu veux jouer à un petit jeu? Essai de faire 4 triangles équilatéraux avec ses 6 aiguilles. Tu n'as pas le droit de les entrecroiser ou de les briser en plusieurs morceaux. Utilise les petites boules de sève pour les maintenir en places.-

Je la regardai d'un air amusé puis ajouta :

-Si tu veux réussir cette énigme pense différemment.-

Pour la chambre, elle n'avait déjà pas de place pour elle et son amoureux.. alors pourquoi elle l'hébergerais lui?! Totalement hors de question, elle avait déjà de la difficulté à s'adapter dans le petit endroit qui lui servait de chambre. Mais s'il voulait vraiment ne pas dormir dehors, il n'avait qu'à demander une chambre à M.Creek. Bref' elle devait lui dire non pour sa demande indirecte. Donc elle retourna vivement la tête vers lui, disant simplement:


Ouch, Evy avait été brusque et directe sur ce coup là.. Mais elle respectait Eva, son double. Elle ne voulait pas non plus la forcer à prendre la place, mais elle commencait à se faire de plus en plus violente en elle. Mais Evy n'y pensait pas, elle laissait Eva seule en fait. Car elle savait que si elle prenait la place, Eva serait totalement violente envers Gabriel. Il était juste.. Trop indiscret et bavard. Bref' elle vit qu'il partait, allant chercher des trucs sur un arbre. Lorsqu'il revint, il lui proposa un petit jeu. Mais il la prenait pour qui?! Une enfant?! Elle roula donc des yeux, croisant fermement les bras contre sa poitrine. Le caractère..


Bwarf, ce coup là ça avait été plus une réplique du genre d'Eva.. Mais elle aurait fait un peu plus qu'Evy là.

-Si tu refuse l’énigme c’est que… tu est incapable de la résoudre!!! Je rigole mais pour le logement, je te jure que je n’avais pas cette pensée en tête! Quand je t’ai demandé ou tu habitais, je voulais juste savoir car il y aurait peut-être eu pour moi une opportunité pour trouver un logement dans le coin. Mais euh je comprends ta réaction, ce n’ai pas été très clair. Désolé… tu me pardonne ^^?–

J’étais déçu d’avoir provoqué une telle réaction chez Evy alors je m’excusa poliment pour qu’elle sache que je ne voulais pas la provoqué. Je regardai le lac silencieusement pendant un moment avant de m’éloigner d’Evy et d’allé m’asseoir sur le bord de celui-ci. Je scruta le sol à la recherche d’une pierre plate avant de la lancer de toute mes forces dans le lac. Elle rebondit 7 fois avant de caler.

-Approche, je vais te compter une petite histoire, un compte ou appelle cela comme tu veux .Tu sais, c’est un peu comme une histoire pour les enfants pas pour les enfants. Ça fera passer le temps et ça a une belle morale. Ca concerne les difficultés dans la vie et euh j’ai vu ca dans un film mais c’est une jolie histoire. L’histoire parle de dieu mais ce n’est pas important la morale est la même pour tout le monde! J’ai l’impression que tu as vécu des moments difficile et ca te fera du bien… enfin, je crois…

C’est l’histoire d’un certain homme. C’est un homme bien ordinaire dont je ne connais pas le nom. En fait, il était tellement ordinaire que même l’auteur ne le nomma pas. Cet homme était ordinaire certes mais son histoire ne l’était pas. Comme tout le monde, il vécut des moments heureux mais lui, avait eu de grosses peines. Par exemple, ses parents le battaient, sa première et unique amoureuse le laissa pour allé vivre avec un Suisse etc….

Un jour, lorsqu’il fût vieux, très vieux il mourut. Comme le dit la légende urbaine, à notre mort on voit le film de notre vie mais dans ce cas si, c’était Jésus en personne qui lui montrait et le regardais avec lui. Le film n’était qu’un désert avec des traces de pas de deux hommes. L’homme remarqua soudain que lors des moments de sa vie les plus difficiles, les traces de pas de Jésus disparaissaient. Il se mit aussitôt en colère. « Jésus, pourquoi m’as-tu abandonné dans mes moments les plus difficiles? » Jésus le regarda un moment puis lui répondit : « Je ne t’ai jamais abandonné, je te portais. »-

Je me teins pour lui laissé le temps de comprendre la morale puis mon regard se reposa sur le lac ou une truite venait de sauté hors de l’eau pour attrapé un moustique.